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Solutions globales

Isolation des voûtes

Comme pour d'autres bâtiments, l'isolation thermique des églises et des bâtiments historiques est judicieuse pour réaliser des économies d'énergie et donc de coûts, contribuer à la lutte contre la crise climatique et améliorer le confort et la protection de la structure proprement dite contre la détérioration. Il est important et souvent rentable d'investir dans l'isolation thermique, en particulier lorsque de tels bâtiments, comme les églises, sont réutilisés de manière plus intensive après avoir été réaffectés.
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    Structure générale

    • L'étanchéité à l'air est essentielle pour que l'isolation thermique fonctionne conformément aux attentes. Rien qu'en raison de l'effet de cheminée (l'air chaud a tendance à monter), une grande quantité d'énergie s'échappe par les fuites d'air. Et plus la pièce est haute, plus la cheminée tire...
    • Lors de l'isolation des voûtes, la cellulose iQ3 est généralement pulvérisée sous un brouillard d'eau.
    Pourquoi isoler les voûtes avec de la cellulose iQ3?
    • Performance de l'isolant
      • L'isolation est basée sur s'immobilisation de l'air (ou d'un autre gaz). La règle générale est donc que l'isolation doit s'adapter parfaitement à la surface à isoler, sinon il y a un risque de flux d'air entre les deux, ce qui entraînerait des pertes de chaleur et éventuellement des problèmes de condensation. La cellulose épouse parfaitement la forme de la surface à isoler, même si elle est courbée en trois dimensions, inégale en surface, avec des conduits électriques... Lors de l'isolation des voûtes, il faut signaler également que la cellulose, en raison de la forte adhérence des fibres grâce à l'eau ajoutée, entre en contact permanent avec le support et ne peut pas commencer à s'affaisser ou à glisser.
      • Même latéralement, là où la cellulose entre en contact avec les murs extérieurs, les cloisons et d'autres éléments de construction adjacents, ainsi que dans le matériau lui-même, il n'y a pas de raccords ni de fissures. Le matériau s'adapte parfaitement.
    • Protection des voûtes existantes
      • Protection contre les infiltrations d'eau

        Bien entendu, il faut partir du principe que la structure existante du toit (couverture et éventuellement sous-toiture) offre normalement une protection suffisante contre les infiltrations. Mais si exceptionnellement de l'eau s'infiltre, elle peut être absorbée sans problème et stockée temporairement par la cellulose. La structure sous-jacente est donc beaucoup moins exposée lors de l'infiltration, ce qui réduit considérablement le risque de dommages ou de dégradation esthétique.

      • Brique

        Autrefois, les églises étaient à peine chauffées. Les voûtes en briques n'étaient donc pas prévues à l'origine pour être exposées à de grandes différences de température entre le dessus et le dessous. En cas de changement d'affectation, le chauffage sera souvent plus important qu'auparavant, chauffant ainsi la voûte sur toute son épaisseur et sa surface. Afin d'éviter les contraintes thermiques localisées, qui peuvent entraîner la formation de fissures, il est conseillé de disposer sur toute la surface une couche d'isolation bien ajustée qui reste également intacte à long terme.

      • Bois

        Lorsque le bois est enveloppé dans l'isolant, plus aucun contrôle visuel de ce dernier n'est possible. Il convient donc de créer une structure sûre qui protège naturellement le bois contre les dommages.

        La cellulose iQ3 protège le bois contre les dommages causés par les insectes : l'adhérence optimale rend l'accès au bois très difficile pour les insectes. Et les insectes parasites du bois qui seraient déjà présents dans le bois ne peuvent pas s'envoler à la fin de leur cycle de vie, pour se reproduire une fois adultes, en raison de la cellulose présente et ne peuvent donc pas trouver de partenaire.

        L'attaque fongique est également limitée : l'humidité indésirable qui se retrouverait dans la structure serait en grande partie absorbée temporairement par la cellulose. Et grâce à la structure extrêmement perméable à la vapeur vers l'extérieur, le séchage reste parfaitement possible.

      • Finition intérieure

        En raison du caractère fortement hygroscopique de la cellulose et de son adhérence optimale au support, l'humidité occasionnelle dans le plâtre ou les plaques de plâtre sera rapidement évacuée.

    • Bon marché
      • La production de cellulose est un processus assez simple.
      • Le matériau est transporté sous une forme très comprimée, ce qui réduit les coûts de transport.
      • Une fois sur le chantier, il n'est pas nécessaire de transporter l'isolant à l'étage : les sacs d'iQ3 sont déversés dans une machine, installée sur le camion de l'entrepreneur par exemple. Cette machine rend son volume au matériau comprimé et le transporte ensuite avec de l'air par un tuyau jusqu'au lieu d'application.
      • La mise en œuvre est très rapide. Même avec les formes les plus complexes, aucune découpe sur mesure n'est nécessaire. Donc pas de chutes ni de résidus de découpe non plus.
      • Le liant utilisé est l'eau, impossible de faire moins cher.
    • Ecologie
      • Le papier journal recyclé représente 90 % des matières premières utilisées.
      • En comparaison avec d'autres matériaux d'isolation, la production de flocons de cellulose nécessite très peu d'énergie.
      • La cellulose iQ3 est l'un des trois premiers matériaux de construction ayant une B-EPD(Déclaration belge) démontrant que l’impact environnemental global est nettement moins défavorable que beaucoup d’autres matériaux isolants.
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